Sbach: le début
Ces derniers temps la météo est plus que mauvaise. Après avoir réparé les avions des copains, je me mets enfin sur le mien. Mon premier geste est d’ouvrir la boîte et d’avoir des étoiles dans les yeux. Que c’est beau un zinc de chez Goldwinn. Je passe alors un petit moment à rêver à mes futurs « exploits » avant de commencer le travail. J’attaque par le montage des deux demies ailes. Rien de bien compliqué. Hormis que tout est plus grand que sur un avion classe 40 ou 50, la mise en place des servos d’ailerons est classique. Pour ceux qui comme moi n’ont jamais monté d’avion à essence de cette taille, un petit montage à blanc avant toute mise en œuvre définitive est préférable. On est certain comme cela de ne pas se tromper. Il faut d’ailleurs noter que la notice est assez sommaire, à se demander si les fabricants ne considèrent pas que le modéliste se faisant ce genre de zinc est apte à s’en passer. Obéissant aux conseils des copains, j’ai pris mon temps et mis deux bonnes heures à faire ce travail.
L’étape suivante sera de passer à la résine toutes les nervures et raccords de bois divers et de renforcer le train atterrissage en le fibrant. L’ heure étant tardive, je préfère potasser sur la programmation de ma nouvelle radio: l’Aurora 9. Simplicité d’utilisation et limpidité de navigation dans les programmes sont au rendez vous. J’étais déjà super content de ma JR mais alors là c’est le must!!
Le marchand de sable va bientôt passer, il est temps de tout ranger et de stocker ce magnifique avion. Chose pas facile…. Les ailes sont bien rangées mais ou vais je pouvoir mettre le fuselage une fois l’avion terminé???