Archives pour la catégorie Vieux gréements

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    24Juil, 2009
    Le Renard d’Alain

    Maquette au 1/25ème du Cotre corsaire « Le Renard » de Saint-Malo

     

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    HISTORIQUE :

    Cotre à huniers, réplique du dernier bateau armé en 1812 par Robert Surcouf, célèbre corsaire malouin, construit d’après différents plans du XVIIIème et du début du XIXème siècle. Ses caractéristiques sont les suivantes :

    Longueur hors tout 30 m – Longueur de coque 19 m – Voilure 450 m2 – Artillerie 10 caronades

    Le Renard combattit victorieusement la Goélette Anglaise “L’Alphéa” les 9 & 10 Septembre 1813.

    Le Renard fut reconstruit dans le cadre du “Concours des Bateaux de France”.

    Quelques dates significatives de sa reconstruction :

    Ouverture du chantier par Raymond Labbé, au printemps 1989, à Saint-Malo Mise à l’eau de la coque le 18 Mai 1991 Finition en Mai 1992 pour satisfaire aux délais de présentation au “Concours des Bateaux du Patrimoine” Brest 92.

    Le Renard participe aujourd’hui à de nombreux et prestigieux rassemblements maritimes.

    MAQUETTE :

    L’accastillage a été réalisé entièrement par mes soins, ne trouvant aucune pièce à cette échelle dans le commerce (caps de mouton, cabillots, poulies, caronades…)

    Construction bois bordés sur couples – Echelle 1/25ème Longueur de coque 78 cm – Longueur hors tout 122 cm – Largeur 28 cm – Hauteur 112 cm Toutes les voiles sont fonctionnelles – Treuil de voiles – Gouvernail et Moteur auxiliaire

    renard1 renard2
    Depuis quelques mois, il bénéficie d’une retraite paisible en exposition à la Malouinière de la Ville Bague à Saint Coulomb près de Saint Malo.

    Photos de la construction du Renard:

     

    Vidéo du Renard en navigation:

    {youtube}Lgwa1a9-nSA{/youtube}

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    24Juil, 2009
    Le Renard d’Alain

    Maquette au 1/25ème du Cotre corsaire « Le Renard » de Saint-Malo

     

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    HISTORIQUE :

    Cotre à huniers, réplique du dernier bateau armé en 1812 par Robert Surcouf, célèbre corsaire malouin, construit d’après différents plans du XVIIIème et du début du XIXème siècle. Ses caractéristiques sont les suivantes :

    Longueur hors tout 30 m – Longueur de coque 19 m – Voilure 450 m2 – Artillerie 10 caronades

    Le Renard combattit victorieusement la Goélette Anglaise “L’Alphéa” les 9 & 10 Septembre 1813.

    Le Renard fut reconstruit dans le cadre du “Concours des Bateaux de France”.

    Quelques dates significatives de sa reconstruction :

    Ouverture du chantier par Raymond Labbé, au printemps 1989, à Saint-Malo Mise à l’eau de la coque le 18 Mai 1991 Finition en Mai 1992 pour satisfaire aux délais de présentation au “Concours des Bateaux du Patrimoine” Brest 92.

    Le Renard participe aujourd’hui à de nombreux et prestigieux rassemblements maritimes.

    MAQUETTE :

    L’accastillage a été réalisé entièrement par mes soins, ne trouvant aucune pièce à cette échelle dans le commerce (caps de mouton, cabillots, poulies, caronades…)

    Construction bois bordés sur couples – Echelle 1/25ème Longueur de coque 78 cm – Longueur hors tout 122 cm – Largeur 28 cm – Hauteur 112 cm Toutes les voiles sont fonctionnelles – Treuil de voiles – Gouvernail et Moteur auxiliaire

    renard1 renard2
    Depuis quelques mois, il bénéficie d’une retraite paisible en exposition à la Malouinière de la Ville Bague à Saint Coulomb près de Saint Malo.

    Photos de la construction du Renard:

     

    Vidéo du Renard en navigation:

    {youtube}Lgwa1a9-nSA{/youtube}

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    24Juil, 2009
    Le Renard d’Alain

    Maquette au 1/25ème du Cotre corsaire « Le Renard » de Saint-Malo

     

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    HISTORIQUE :

    Cotre à huniers, réplique du dernier bateau armé en 1812 par Robert Surcouf, célèbre corsaire malouin, construit d’après différents plans du XVIIIème et du début du XIXème siècle. Ses caractéristiques sont les suivantes :

    Longueur hors tout 30 m – Longueur de coque 19 m – Voilure 450 m2 – Artillerie 10 caronades

    Le Renard combattit victorieusement la Goélette Anglaise “L’Alphéa” les 9 & 10 Septembre 1813.

    Le Renard fut reconstruit dans le cadre du “Concours des Bateaux de France”.

    Quelques dates significatives de sa reconstruction :

    Ouverture du chantier par Raymond Labbé, au printemps 1989, à Saint-Malo Mise à l’eau de la coque le 18 Mai 1991 Finition en Mai 1992 pour satisfaire aux délais de présentation au “Concours des Bateaux du Patrimoine” Brest 92.

    Le Renard participe aujourd’hui à de nombreux et prestigieux rassemblements maritimes.

    MAQUETTE :

    L’accastillage a été réalisé entièrement par mes soins, ne trouvant aucune pièce à cette échelle dans le commerce (caps de mouton, cabillots, poulies, caronades…)

    Construction bois bordés sur couples – Echelle 1/25ème Longueur de coque 78 cm – Longueur hors tout 122 cm – Largeur 28 cm – Hauteur 112 cm Toutes les voiles sont fonctionnelles – Treuil de voiles – Gouvernail et Moteur auxiliaire

    renard1 renard2
    Depuis quelques mois, il bénéficie d’une retraite paisible en exposition à la Malouinière de la Ville Bague à Saint Coulomb près de Saint Malo.

    Photos de la construction du Renard:

     

    Vidéo du Renard en navigation:

    {youtube}Lgwa1a9-nSA{/youtube}

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    24Juil, 2009
    Le Renard d’Alain

    Maquette au 1/25ème du Cotre corsaire « Le Renard » de Saint-Malo

     

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    HISTORIQUE :

    Cotre à huniers, réplique du dernier bateau armé en 1812 par Robert Surcouf, célèbre corsaire malouin, construit d’après différents plans du XVIIIème et du début du XIXème siècle. Ses caractéristiques sont les suivantes :

    Longueur hors tout 30 m – Longueur de coque 19 m – Voilure 450 m2 – Artillerie 10 caronades

    Le Renard combattit victorieusement la Goélette Anglaise “L’Alphéa” les 9 & 10 Septembre 1813.

    Le Renard fut reconstruit dans le cadre du “Concours des Bateaux de France”.

    Quelques dates significatives de sa reconstruction :

    Ouverture du chantier par Raymond Labbé, au printemps 1989, à Saint-Malo Mise à l’eau de la coque le 18 Mai 1991 Finition en Mai 1992 pour satisfaire aux délais de présentation au “Concours des Bateaux du Patrimoine” Brest 92.

    Le Renard participe aujourd’hui à de nombreux et prestigieux rassemblements maritimes.

    MAQUETTE :

    L’accastillage a été réalisé entièrement par mes soins, ne trouvant aucune pièce à cette échelle dans le commerce (caps de mouton, cabillots, poulies, caronades…)

    Construction bois bordés sur couples – Echelle 1/25ème Longueur de coque 78 cm – Longueur hors tout 122 cm – Largeur 28 cm – Hauteur 112 cm Toutes les voiles sont fonctionnelles – Treuil de voiles – Gouvernail et Moteur auxiliaire

    renard1 renard2
    Depuis quelques mois, il bénéficie d’une retraite paisible en exposition à la Malouinière de la Ville Bague à Saint Coulomb près de Saint Malo.

    Photos de la construction du Renard:

     

    Vidéo du Renard en navigation:

    {youtube}Lgwa1a9-nSA{/youtube}

    7Fév, 2007
    Brick goélette « Le Hussard »

    Construction du brick goëlette « Le Hussard » par Michel Boulet

     

    Historique :

    Brick goélette de la Marine Française construite en 1848.

    Cette goélette correspond aux formes des goélettes « brick et brigantine » d’origine Anglaise et Américaine du 19ème siècle .Ce bateau en particulier montre une innovation importante pour son époque dans son armement puisqu’il est équipé de deux caronades orientables. Ce type de bateau avait des fonctions très diverses soit : transport d’esclaves, pirate ou corsaire et chasse à ces mêmes bateaux.

    Nous trouvons toujours ce type de bateau à notre époque, restauré, et plus sûrement reconstruit mais sans armement bien sur !

    La maquette :

    Coque toujours construite en bois, bordé sur couples, stratifiée extérieure et intérieure, à l’échelle1/40ème d’après des informations prises sur la nomenclature d’une boite de construction du fabricant espagnol « Artesania Latina ».
    - Longueur hors tout 1,10 m et 0,65 m à la flottaison. Je n’ai malheureusement pas trouvé de référence dans les musées Français décrivant ce bateau en particulier.

    Quelques détails du bateau :


    Toujours le même problème d’équilibrage pour la navigation lorsque l’on conserve la voilure, d’où la nécessité de placer le lest à l’extérieur….avec son petit moteur électrique. Il faut que cela soit beau dans l’eau et pas obligatoirement compétitif.

     

    Michel Boulet

     

    7Fév, 2007
    Brick goélette « Le Hussard »

    Construction du brick goëlette « Le Hussard » par Michel Boulet

     

    Historique :

    Brick goélette de la Marine Française construite en 1848.

    Cette goélette correspond aux formes des goélettes « brick et brigantine » d’origine Anglaise et Américaine du 19ème siècle .Ce bateau en particulier montre une innovation importante pour son époque dans son armement puisqu’il est équipé de deux caronades orientables. Ce type de bateau avait des fonctions très diverses soit : transport d’esclaves, pirate ou corsaire et chasse à ces mêmes bateaux.

    Nous trouvons toujours ce type de bateau à notre époque, restauré, et plus sûrement reconstruit mais sans armement bien sur !

    La maquette :

    Coque toujours construite en bois, bordé sur couples, stratifiée extérieure et intérieure, à l’échelle1/40ème d’après des informations prises sur la nomenclature d’une boite de construction du fabricant espagnol « Artesania Latina ».
    - Longueur hors tout 1,10 m et 0,65 m à la flottaison. Je n’ai malheureusement pas trouvé de référence dans les musées Français décrivant ce bateau en particulier.

    Quelques détails du bateau :


    Toujours le même problème d’équilibrage pour la navigation lorsque l’on conserve la voilure, d’où la nécessité de placer le lest à l’extérieur….avec son petit moteur électrique. Il faut que cela soit beau dans l’eau et pas obligatoirement compétitif.

     

    Michel Boulet

     

    7Fév, 2007
    Brick goélette « Le Hussard »

    Construction du brick goëlette « Le Hussard » par Michel Boulet

     

    Historique :

    Brick goélette de la Marine Française construite en 1848.

    Cette goélette correspond aux formes des goélettes « brick et brigantine » d’origine Anglaise et Américaine du 19ème siècle .Ce bateau en particulier montre une innovation importante pour son époque dans son armement puisqu’il est équipé de deux caronades orientables. Ce type de bateau avait des fonctions très diverses soit : transport d’esclaves, pirate ou corsaire et chasse à ces mêmes bateaux.

    Nous trouvons toujours ce type de bateau à notre époque, restauré, et plus sûrement reconstruit mais sans armement bien sur !

    La maquette :

    Coque toujours construite en bois, bordé sur couples, stratifiée extérieure et intérieure, à l’échelle1/40ème d’après des informations prises sur la nomenclature d’une boite de construction du fabricant espagnol « Artesania Latina ».
    - Longueur hors tout 1,10 m et 0,65 m à la flottaison. Je n’ai malheureusement pas trouvé de référence dans les musées Français décrivant ce bateau en particulier.

    Quelques détails du bateau :


    Toujours le même problème d’équilibrage pour la navigation lorsque l’on conserve la voilure, d’où la nécessité de placer le lest à l’extérieur….avec son petit moteur électrique. Il faut que cela soit beau dans l’eau et pas obligatoirement compétitif.

     

    Michel Boulet

     

    7Fév, 2007
    Brick goélette « Le Hussard »

    Construction du brick goëlette « Le Hussard » par Michel Boulet

     

    Historique :

    Brick goélette de la Marine Française construite en 1848.

    Cette goélette correspond aux formes des goélettes « brick et brigantine » d’origine Anglaise et Américaine du 19ème siècle .Ce bateau en particulier montre une innovation importante pour son époque dans son armement puisqu’il est équipé de deux caronades orientables. Ce type de bateau avait des fonctions très diverses soit : transport d’esclaves, pirate ou corsaire et chasse à ces mêmes bateaux.

    Nous trouvons toujours ce type de bateau à notre époque, restauré, et plus sûrement reconstruit mais sans armement bien sur !

    La maquette :

    Coque toujours construite en bois, bordé sur couples, stratifiée extérieure et intérieure, à l’échelle1/40ème d’après des informations prises sur la nomenclature d’une boite de construction du fabricant espagnol « Artesania Latina ».
    - Longueur hors tout 1,10 m et 0,65 m à la flottaison. Je n’ai malheureusement pas trouvé de référence dans les musées Français décrivant ce bateau en particulier.

    Quelques détails du bateau :


    Toujours le même problème d’équilibrage pour la navigation lorsque l’on conserve la voilure, d’où la nécessité de placer le lest à l’extérieur….avec son petit moteur électrique. Il faut que cela soit beau dans l’eau et pas obligatoirement compétitif.

     

    Michel Boulet

     

    10Nov, 2006
    Trois mâts barque « Pourquoi pas »

    Maquette du Trois Mâts Barque « Pourquoi Pas » construite par Michel Boulet

     

    Historique :

    Trois mâts barque, construit en 1908 à Saint Malo

    - Dimension : longueur hors tout 58 m, soit 40 m à la flottaison pour un tirant d’eau moyen de 4,25m

     

    Il est équipé d’une machine à vapeur de 450 CV, il naviguait à une vitesse moteur de 7,5 nœuds.

    Navire de recherche scientifique et géographique du commandant CHARCOT il a navigué en arctique et antarctique. Désarmé en 1914-1918, il reprend ses recherches à la fin de la guerre.

    Il sombre sur les côtes d’Islande, le 16 septembre 1936 pendant une tempête après avoir touché les récifs d’Alftanes. Ce naufrage causa 23 morts, 17 disparus et un seul survivant, le maître timonier.

    Ce bateau a certainement contribué à la vocation de Paul Emile VICTOR, lequel a participé à de nombreuses expéditions à bord.

     

     La maquette :

    Maquette en construction :

    • Construite à l’échelle 1/40ème d’après le plan du Musée de la Marine au 1/100ème
    • Longueur 1,45m hors tout soit 1m à la flottaison – Poids 11 kg
    • Coque bois, bordé sur couples et stratifiée extérieure et intérieure.

     

     

     

    La navigation est assurée par une radiocommande.

    Michel Boulet

    10Nov, 2006
    Trois mâts barque « Pourquoi pas »

    Maquette du Trois Mâts Barque « Pourquoi Pas » construite par Michel Boulet

     

    Historique :

    Trois mâts barque, construit en 1908 à Saint Malo

    - Dimension : longueur hors tout 58 m, soit 40 m à la flottaison pour un tirant d’eau moyen de 4,25m

     

    Il est équipé d’une machine à vapeur de 450 CV, il naviguait à une vitesse moteur de 7,5 nœuds.

    Navire de recherche scientifique et géographique du commandant CHARCOT il a navigué en arctique et antarctique. Désarmé en 1914-1918, il reprend ses recherches à la fin de la guerre.

    Il sombre sur les côtes d’Islande, le 16 septembre 1936 pendant une tempête après avoir touché les récifs d’Alftanes. Ce naufrage causa 23 morts, 17 disparus et un seul survivant, le maître timonier.

    Ce bateau a certainement contribué à la vocation de Paul Emile VICTOR, lequel a participé à de nombreuses expéditions à bord.

     

     La maquette :

    Maquette en construction :

    • Construite à l’échelle 1/40ème d’après le plan du Musée de la Marine au 1/100ème
    • Longueur 1,45m hors tout soit 1m à la flottaison – Poids 11 kg
    • Coque bois, bordé sur couples et stratifiée extérieure et intérieure.

     

     

     

    La navigation est assurée par une radiocommande.

    Michel Boulet