Apprendre à piloter au MCCR
Vous avez construit votre premier avion et vous ne voulez pas le casser dès le premier vol ? La suite est pour vous …
Veliz’indoor 2005
Nous sommes à J moins 1. Le vendredi soir au local du club M.C.C.R. à Vélizy, la tension monte. Si le programme de la journée du dimanche est déjà établi, il s’agit de ne rien oublier. Le samedi dès 14 heures nous nous retrouvons à quelques un au gymnase Robert Wagner à Vélizy. Les préparatifs de la salle sont rondement menés.
- Au premier plan, la régie radio
Délimitation de la zone d’accueil des concurrents, pose de tapis de protection au sol et mise en place des tables avec un espace pour la régie radio. La sono, et les tables destinées aux juges du statique maquette. Et enfin les barrières permettant d’avoir un espace de vol bien délimité afin d’éviter tous débordements. La sécurité du public sur les gradins a été assurée avec la pose par les services techniques de la municipalité d’un grand filet de protection couvrant la longueur et la hauteur du gymnase. Toutes ces opérations sont promptement éxécutées et dès 15 heures 30 quelques concurrents se présentent. Des vols libres seront effectués tout l’après midi et certains « furieux » vont s’entrainer assez tard dans la soirée, la salle nous étant allouée jusqu’à 22 heures.
- Accueil sympathique au bar
Le dimanche, les inscriptions sont ouvertes dès 9 heures et les concurrents , accueillis avec le café et des croissants tout chauds bien appréciés. Progressivement, les tables se garnissent de modèles en tous genre.
- Des tables bien remplies
Dejà la piste est assaillie par les pilotes et plusieurs avions virevoltent en tous sens. Vers 11 heures, le concours maquette est ouvert avec le jugement statique effectué sous l’oeil accéré de notre vénéré juge national Christian Causse, secondé par sa charmante épouse. Seul 5 concurrents se sont présentés à ce concours, dont votre serviteur et 7 modèles soumis au jugement.
- Très belle maquette de Nieuport
Deux hélicoptères étaient présentés, dont un Super Frelon issu d’un kit plastique Heller profondément modifié et équipé d’une mécanique classique indoor avec motorisation brushless, piloté de mains de maître par Sébastien Gravit.
- Super Frelon en vol
Les détails foisonnent sur cette petite maquette et la victoire est à la clé. Les épreuves en vol ne font que valider le statique et le signataire est tout heureux de terminer second de cette rencontre et premier des avions.
- Maquette du R.E.P. type D
Le temps a passé très vite et l’heure du déjeuner est arrivé. L’apéritif est offert par le club à tous les concurrents. A ce moment, nous avons 32 pilotes inscrits plus les accompagnateurs et accompagnatrices. Le repas est servi sous forme de buffet campagnard concocté par la non moins succulente Virginie et accompagné d’excellentes bouteilles (pas bon pour la lucidité des pilotes ça) feront le plaisir de tous. Certains ayant même repéré quelques millésimes avantageux, nous verrons des bouteilles changer de table. Enfin quand on aime… Et pour les desserts, tartes, gâteaux au chocolat et des merveilles préparées avec amour par mon épouse seront appréciés de tous. Alors que nous festoyons allègrement, quelques irréductibles (gaulois ?) continuent de voler encore et toujours, à leurs risques et péril. La régie radio est en sommeil (merci Bernard) et les convives aussi (enfin presque) mais nous allons réveiller tout ce petit monde car le temps passe très vite et il y a encore beaucoup de choses à faire. Et puis tous sont venus pour voler, alors… A 14 heures les vols libres reprennent sous le contrôle de la régie. En effet, Bernard vient de se réveiller.
- Bernard à la régie radio
Très rapidement nous reprenons les choses en mains, à savoir le premier jeu de l’après midi, la course aux pylônes. Celle-ci se déroulera sur 2 manches éliminatoires et une finale. Les « pylônes » sont matérialisés par de la rubalise blanche et rouge attachée aux paniers de bascket. Leurs mise en place étant éffectuée depuis la veille, les épreuves commencent rapidement. A ce petit jeu, notre ami Max Marlier se montre le plus régulier et il remporte la victoire. Bien sûr cela ne s’est pas passé aussi bien que ça et plusieurs avions ont contournés les pylônes, d’autres sont même restés accrochés par l’hélice dans la rubalise ou se sont télescopés en vol. La technique est d’arriver à « enrouler » les virages sur la tranche. Pas si facile dans un espace aussi restreint et avec plusieurs avions en vol simultanément.
- Un concurrent heureux
Le second jeu proposé est l’épreuve de la chaise musicale. Celui-ci étant nouveau, les règles ont été un peu longues à mettre en vigueur et après un briefing avec les pilotes nous avons trouvé un compromis. Quatre ou cinq concurrents sont assis sur des chaises au milieu de la piste et les avions mis en vol. A l’arret de la musique tous doivent attérrir, récupérer leur appareil et revenir s’assoir. Le dernier assis est éliminé. Les plus adroits se posent naturellement près des chaises. Il y aura 2 manches et un fly off. Pour cette finale, il fallait corser un peu le jeu. C’était trop facile de se poser à proximité, alors nous avons décidé de déplacer les chaises vers le fond de la salle et les avions devront se poser derrière la ligne médiane matérialisant le terrain de bascket. Ca devenait intérressant car non seulement il fallait être le plus prompt à attérrir mais en plus poser l’émetteur, courir chercher son appareil et revenir s’assoir. Après quelques exercices de ce genre, les plus jeunes se sont montrés les meilleurs. Mais les anciens n’ont pas démérité pour autant, tel Max Marlier (encore lui. Décidément il est partout) qui a raté la chaise au moment de s’assoir et emporté par son élan s’est retrouvé les 4 fers en l’air sous les rires du public enthousiasmé. Il y a eu aussi ce concurrent qui ayant posé son émétteur trop rapidement n’avait pas coupé la manette des « gaz » courait derrière son avion alors que celui-ci continuait de rouler imperturbablement et a fini sa course dans le mur (l’avion pas le pilote) après être passé sous les barrières de protection. Délire dans la salle. Ce fut un jeu ou la bonne humeur a régnée tout au long de l’épreuve et chacun s’est bien amusé. Arnaud Dollié remporte ce jeu grâce à son pilotage et sa rapidité d’exécution. Bravo. Entre ces jeux, quelques vols libres ou présentation de voltige ont eu lieu pour le plaisir des yeux.
- Reflex, conçu pour la voltige
La recontre se termine à 17 h 30 par une remise des prix avec des coupes pour chaque épreuve et des lots tel que moteurs électriques brushless, servomoteurs, abonnements aux revues RCM et LOOPING, plans à choisir dans la liste de ces revues, tubes de colle ect… Enfin chacun repartira avec un lot de consolation.
- Remise des prix
Cette journée se termine par le rangement du matériel et la remise en ordre de la salle avec l’aide de plusieures personnes. Quelles en soient ici remerciées. Remerciements également à la municipalité de Vélizy pour le prêt du gymnase ansi qu’à leurs employés pour leur aide et leur compréhention, aux revues RCM et LOOPING, abonnements et plans, le magasin New Power Modélisme,moteurs brushless et colle ansi qu’à toute l’équipe du MCCR et son président Léon LE CORRE qui m’ont beaucoup soutenu au cours de cette journée. Merci également à notre juge Christian Causse dont la sagacité n’a d’égale que sa gentillesse et à sa patience face à nos élucubrations d’un jour. Enfin un grand merci à nos épouses respectives qui acceptent de s’impliquer dans nos délires.
Voilà, cette journée s’est terminée de façon très positive. Tous ont volé, il y a eu peu de casse preuve que les pilotes s’améliorent sans cesse et la bonne humeur a régnée tout au long de cette recontre.
- Groupir, rester groupir
Je ne peux citer tout le monde car la place manquerait et si certains se sentent oubliés qu’ils veuillent bien me pardonner.
Bons vols à toutes et à tous et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures.
Michel Malabat
Veliz’indoor 2005
Nous sommes à J moins 1. Le vendredi soir au local du club M.C.C.R. à Vélizy, la tension monte. Si le programme de la journée du dimanche est déjà établi, il s’agit de ne rien oublier. Le samedi dès 14 heures nous nous retrouvons à quelques un au gymnase Robert Wagner à Vélizy. Les préparatifs de la salle sont rondement menés.
- Au premier plan, la régie radio
Délimitation de la zone d’accueil des concurrents, pose de tapis de protection au sol et mise en place des tables avec un espace pour la régie radio. La sono, et les tables destinées aux juges du statique maquette. Et enfin les barrières permettant d’avoir un espace de vol bien délimité afin d’éviter tous débordements. La sécurité du public sur les gradins a été assurée avec la pose par les services techniques de la municipalité d’un grand filet de protection couvrant la longueur et la hauteur du gymnase. Toutes ces opérations sont promptement éxécutées et dès 15 heures 30 quelques concurrents se présentent. Des vols libres seront effectués tout l’après midi et certains « furieux » vont s’entrainer assez tard dans la soirée, la salle nous étant allouée jusqu’à 22 heures.
- Accueil sympathique au bar
Le dimanche, les inscriptions sont ouvertes dès 9 heures et les concurrents , accueillis avec le café et des croissants tout chauds bien appréciés. Progressivement, les tables se garnissent de modèles en tous genre.
- Des tables bien remplies
Dejà la piste est assaillie par les pilotes et plusieurs avions virevoltent en tous sens. Vers 11 heures, le concours maquette est ouvert avec le jugement statique effectué sous l’oeil accéré de notre vénéré juge national Christian Causse, secondé par sa charmante épouse. Seul 5 concurrents se sont présentés à ce concours, dont votre serviteur et 7 modèles soumis au jugement.
- Très belle maquette de Nieuport
Deux hélicoptères étaient présentés, dont un Super Frelon issu d’un kit plastique Heller profondément modifié et équipé d’une mécanique classique indoor avec motorisation brushless, piloté de mains de maître par Sébastien Gravit.
- Super Frelon en vol
Les détails foisonnent sur cette petite maquette et la victoire est à la clé. Les épreuves en vol ne font que valider le statique et le signataire est tout heureux de terminer second de cette rencontre et premier des avions.
- Maquette du R.E.P. type D
Le temps a passé très vite et l’heure du déjeuner est arrivé. L’apéritif est offert par le club à tous les concurrents. A ce moment, nous avons 32 pilotes inscrits plus les accompagnateurs et accompagnatrices. Le repas est servi sous forme de buffet campagnard concocté par la non moins succulente Virginie et accompagné d’excellentes bouteilles (pas bon pour la lucidité des pilotes ça) feront le plaisir de tous. Certains ayant même repéré quelques millésimes avantageux, nous verrons des bouteilles changer de table. Enfin quand on aime… Et pour les desserts, tartes, gâteaux au chocolat et des merveilles préparées avec amour par mon épouse seront appréciés de tous. Alors que nous festoyons allègrement, quelques irréductibles (gaulois ?) continuent de voler encore et toujours, à leurs risques et péril. La régie radio est en sommeil (merci Bernard) et les convives aussi (enfin presque) mais nous allons réveiller tout ce petit monde car le temps passe très vite et il y a encore beaucoup de choses à faire. Et puis tous sont venus pour voler, alors… A 14 heures les vols libres reprennent sous le contrôle de la régie. En effet, Bernard vient de se réveiller.
- Bernard à la régie radio
Très rapidement nous reprenons les choses en mains, à savoir le premier jeu de l’après midi, la course aux pylônes. Celle-ci se déroulera sur 2 manches éliminatoires et une finale. Les « pylônes » sont matérialisés par de la rubalise blanche et rouge attachée aux paniers de bascket. Leurs mise en place étant éffectuée depuis la veille, les épreuves commencent rapidement. A ce petit jeu, notre ami Max Marlier se montre le plus régulier et il remporte la victoire. Bien sûr cela ne s’est pas passé aussi bien que ça et plusieurs avions ont contournés les pylônes, d’autres sont même restés accrochés par l’hélice dans la rubalise ou se sont télescopés en vol. La technique est d’arriver à « enrouler » les virages sur la tranche. Pas si facile dans un espace aussi restreint et avec plusieurs avions en vol simultanément.
- Un concurrent heureux
Le second jeu proposé est l’épreuve de la chaise musicale. Celui-ci étant nouveau, les règles ont été un peu longues à mettre en vigueur et après un briefing avec les pilotes nous avons trouvé un compromis. Quatre ou cinq concurrents sont assis sur des chaises au milieu de la piste et les avions mis en vol. A l’arret de la musique tous doivent attérrir, récupérer leur appareil et revenir s’assoir. Le dernier assis est éliminé. Les plus adroits se posent naturellement près des chaises. Il y aura 2 manches et un fly off. Pour cette finale, il fallait corser un peu le jeu. C’était trop facile de se poser à proximité, alors nous avons décidé de déplacer les chaises vers le fond de la salle et les avions devront se poser derrière la ligne médiane matérialisant le terrain de bascket. Ca devenait intérressant car non seulement il fallait être le plus prompt à attérrir mais en plus poser l’émetteur, courir chercher son appareil et revenir s’assoir. Après quelques exercices de ce genre, les plus jeunes se sont montrés les meilleurs. Mais les anciens n’ont pas démérité pour autant, tel Max Marlier (encore lui. Décidément il est partout) qui a raté la chaise au moment de s’assoir et emporté par son élan s’est retrouvé les 4 fers en l’air sous les rires du public enthousiasmé. Il y a eu aussi ce concurrent qui ayant posé son émétteur trop rapidement n’avait pas coupé la manette des « gaz » courait derrière son avion alors que celui-ci continuait de rouler imperturbablement et a fini sa course dans le mur (l’avion pas le pilote) après être passé sous les barrières de protection. Délire dans la salle. Ce fut un jeu ou la bonne humeur a régnée tout au long de l’épreuve et chacun s’est bien amusé. Arnaud Dollié remporte ce jeu grâce à son pilotage et sa rapidité d’exécution. Bravo. Entre ces jeux, quelques vols libres ou présentation de voltige ont eu lieu pour le plaisir des yeux.
- Reflex, conçu pour la voltige
La recontre se termine à 17 h 30 par une remise des prix avec des coupes pour chaque épreuve et des lots tel que moteurs électriques brushless, servomoteurs, abonnements aux revues RCM et LOOPING, plans à choisir dans la liste de ces revues, tubes de colle ect… Enfin chacun repartira avec un lot de consolation.
- Remise des prix
Cette journée se termine par le rangement du matériel et la remise en ordre de la salle avec l’aide de plusieures personnes. Quelles en soient ici remerciées. Remerciements également à la municipalité de Vélizy pour le prêt du gymnase ansi qu’à leurs employés pour leur aide et leur compréhention, aux revues RCM et LOOPING, abonnements et plans, le magasin New Power Modélisme,moteurs brushless et colle ansi qu’à toute l’équipe du MCCR et son président Léon LE CORRE qui m’ont beaucoup soutenu au cours de cette journée. Merci également à notre juge Christian Causse dont la sagacité n’a d’égale que sa gentillesse et à sa patience face à nos élucubrations d’un jour. Enfin un grand merci à nos épouses respectives qui acceptent de s’impliquer dans nos délires.
Voilà, cette journée s’est terminée de façon très positive. Tous ont volé, il y a eu peu de casse preuve que les pilotes s’améliorent sans cesse et la bonne humeur a régnée tout au long de cette recontre.
- Groupir, rester groupir
Je ne peux citer tout le monde car la place manquerait et si certains se sentent oubliés qu’ils veuillent bien me pardonner.
Bons vols à toutes et à tous et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures.
Michel Malabat
Des nouvelles de Cressely
Quelques mots pour vous donner les dernières nouvelles du terrain à Cressely.
Depuis quelques semaines, nous ne voyons plus grand monde le dimanche matin. D’habitude non plus me direz vous, encore que normalement nous nous retrouvons à 4 ou 5 et en repartant sur le coup de 13h, les premiers fondus de l’après midi commencent à arriver.
Bon évidemment, ces dernières semaines en arrivant, le thermomètre est à 0 ou 2 degrés et au mieux en repartant, il finit à 4 ou 5 degrés. De toute façon c’est humide, très humide. Les bottes sont obligatoires et les sous-gants en soie aident à sentir un peu les manches de l’émetteur.
En se moment on retrouve toujours les mêmes : Sylvain, Vincent, Bernard et souvent Patrick qui s’échappe de chez lui juste à coté.
L’ambiance : essentiellement des avions/planeurs électrifiés et de temps en temps l’hélico électrique de Sylvain.
- Le tagazou de Vincent et le tout nouveau Taxi Cup II de Sylvain. Il l’a monté avec une propulsion électrique au lieu du 46 2 temps préconisé par Graupner. C’est très joli à voir évoluer avec des trajectoires bien tendues et des réponses aux commandes très saines.
- Au fond, le Solution de Vincent qui essaie de trouver un peu d’air porteur, heureusement que son moteur a une super pèche pour le ramener en altitude. Devant, le nouveau machin de Bernard dans la lignée des racers électrifiés, c’est un Fire-Cracker de HET-RC. Celui-ci ne fera pas de mal à grand monde avec son Speed 400, mais bon il est joli et devrait voler dès que Bernard aura trouvé la motivation pour sortir les mains de ses poches.
- Tiens , re-voila le tagazou. Je dis tagazou, parce qu’il a été construit et réparé, puis reconstruit et re-réparé avec d’autres morceaux, bref on ne sait plus d’où il vient et avec quoi il a été fait. Toujours est-il qu’il est vaillant, il est de sortie tous les dimanches. Il vole super et je l’ai même vu équipé d’un support pour largué en altitude des petits planeurs ou même des avions.
Ce jour là, il a eu du mal à sortir de la neige, il lui a fallu un bon coup de pieds au c… pour l’aider à s’arracher. Mais bon, pirouettes et vols dos et un gentil retour au bercail aux pieds du pilote.
- Re le racer pour justifier le fait que le paysage de Cressely a été remodelé. Quand on vous dit qu’on s’en occupe : ça s’appelle un « poteau », il fait 4 mètres de haut et est déjà en fleur. Une belle fleur, blanche et rouge en damier. Le 2ième, est sorti un peu plus tard, il est encore tout petit mais grandit rapidement et bientôt il sera lui aussi en fleur. Ils sont espacés d’environ 100 mètres, un à chaque bout de la piste, juste bien pour faire des « runs » avec un joli virage à chaque poteau.
J’insiste lourdement : faites chauffer la colle et affûtez vos hélices. Vous n’allez plus tardé à être invité pour une confrontation où vous devrez défendre vos couleurs et peut-être même les couleurs du club. J’ai trouvé à Mennecy et à Boissy des pilotes complètement intoxiqués à l’électron fou ou au nitrométhane et qui n’attendent qu’une occasion pour ressortir leurs machines diaboliques.
Allez, bonne soirée quand même, on vous attend sur le terrain.
Bernard Laplanche
Des nouvelles de Cressely
Quelques mots pour vous donner les dernières nouvelles du terrain à Cressely.
Depuis quelques semaines, nous ne voyons plus grand monde le dimanche matin. D’habitude non plus me direz vous, encore que normalement nous nous retrouvons à 4 ou 5 et en repartant sur le coup de 13h, les premiers fondus de l’après midi commencent à arriver.
Bon évidemment, ces dernières semaines en arrivant, le thermomètre est à 0 ou 2 degrés et au mieux en repartant, il finit à 4 ou 5 degrés. De toute façon c’est humide, très humide. Les bottes sont obligatoires et les sous-gants en soie aident à sentir un peu les manches de l’émetteur.
En se moment on retrouve toujours les mêmes : Sylvain, Vincent, Bernard et souvent Patrick qui s’échappe de chez lui juste à coté.
L’ambiance : essentiellement des avions/planeurs électrifiés et de temps en temps l’hélico électrique de Sylvain.
- Le tagazou de Vincent et le tout nouveau Taxi Cup II de Sylvain. Il l’a monté avec une propulsion électrique au lieu du 46 2 temps préconisé par Graupner. C’est très joli à voir évoluer avec des trajectoires bien tendues et des réponses aux commandes très saines.
- Au fond, le Solution de Vincent qui essaie de trouver un peu d’air porteur, heureusement que son moteur a une super pèche pour le ramener en altitude. Devant, le nouveau machin de Bernard dans la lignée des racers électrifiés, c’est un Fire-Cracker de HET-RC. Celui-ci ne fera pas de mal à grand monde avec son Speed 400, mais bon il est joli et devrait voler dès que Bernard aura trouvé la motivation pour sortir les mains de ses poches.
- Tiens , re-voila le tagazou. Je dis tagazou, parce qu’il a été construit et réparé, puis reconstruit et re-réparé avec d’autres morceaux, bref on ne sait plus d’où il vient et avec quoi il a été fait. Toujours est-il qu’il est vaillant, il est de sortie tous les dimanches. Il vole super et je l’ai même vu équipé d’un support pour largué en altitude des petits planeurs ou même des avions.
Ce jour là, il a eu du mal à sortir de la neige, il lui a fallu un bon coup de pieds au c… pour l’aider à s’arracher. Mais bon, pirouettes et vols dos et un gentil retour au bercail aux pieds du pilote.
- Re le racer pour justifier le fait que le paysage de Cressely a été remodelé. Quand on vous dit qu’on s’en occupe : ça s’appelle un « poteau », il fait 4 mètres de haut et est déjà en fleur. Une belle fleur, blanche et rouge en damier. Le 2ième, est sorti un peu plus tard, il est encore tout petit mais grandit rapidement et bientôt il sera lui aussi en fleur. Ils sont espacés d’environ 100 mètres, un à chaque bout de la piste, juste bien pour faire des « runs » avec un joli virage à chaque poteau.
J’insiste lourdement : faites chauffer la colle et affûtez vos hélices. Vous n’allez plus tardé à être invité pour une confrontation où vous devrez défendre vos couleurs et peut-être même les couleurs du club. J’ai trouvé à Mennecy et à Boissy des pilotes complètement intoxiqués à l’électron fou ou au nitrométhane et qui n’attendent qu’une occasion pour ressortir leurs machines diaboliques.
Allez, bonne soirée quand même, on vous attend sur le terrain.
Bernard Laplanche
Des nouvelles de Cressely
Quelques mots pour vous donner les dernières nouvelles du terrain à Cressely.
Depuis quelques semaines, nous ne voyons plus grand monde le dimanche matin. D’habitude non plus me direz vous, encore que normalement nous nous retrouvons à 4 ou 5 et en repartant sur le coup de 13h, les premiers fondus de l’après midi commencent à arriver.
Bon évidemment, ces dernières semaines en arrivant, le thermomètre est à 0 ou 2 degrés et au mieux en repartant, il finit à 4 ou 5 degrés. De toute façon c’est humide, très humide. Les bottes sont obligatoires et les sous-gants en soie aident à sentir un peu les manches de l’émetteur.
En se moment on retrouve toujours les mêmes : Sylvain, Vincent, Bernard et souvent Patrick qui s’échappe de chez lui juste à coté.
L’ambiance : essentiellement des avions/planeurs électrifiés et de temps en temps l’hélico électrique de Sylvain.
- Le tagazou de Vincent et le tout nouveau Taxi Cup II de Sylvain. Il l’a monté avec une propulsion électrique au lieu du 46 2 temps préconisé par Graupner. C’est très joli à voir évoluer avec des trajectoires bien tendues et des réponses aux commandes très saines.
- Au fond, le Solution de Vincent qui essaie de trouver un peu d’air porteur, heureusement que son moteur a une super pèche pour le ramener en altitude. Devant, le nouveau machin de Bernard dans la lignée des racers électrifiés, c’est un Fire-Cracker de HET-RC. Celui-ci ne fera pas de mal à grand monde avec son Speed 400, mais bon il est joli et devrait voler dès que Bernard aura trouvé la motivation pour sortir les mains de ses poches.
- Tiens , re-voila le tagazou. Je dis tagazou, parce qu’il a été construit et réparé, puis reconstruit et re-réparé avec d’autres morceaux, bref on ne sait plus d’où il vient et avec quoi il a été fait. Toujours est-il qu’il est vaillant, il est de sortie tous les dimanches. Il vole super et je l’ai même vu équipé d’un support pour largué en altitude des petits planeurs ou même des avions.
Ce jour là, il a eu du mal à sortir de la neige, il lui a fallu un bon coup de pieds au c… pour l’aider à s’arracher. Mais bon, pirouettes et vols dos et un gentil retour au bercail aux pieds du pilote.
- Re le racer pour justifier le fait que le paysage de Cressely a été remodelé. Quand on vous dit qu’on s’en occupe : ça s’appelle un « poteau », il fait 4 mètres de haut et est déjà en fleur. Une belle fleur, blanche et rouge en damier. Le 2ième, est sorti un peu plus tard, il est encore tout petit mais grandit rapidement et bientôt il sera lui aussi en fleur. Ils sont espacés d’environ 100 mètres, un à chaque bout de la piste, juste bien pour faire des « runs » avec un joli virage à chaque poteau.
J’insiste lourdement : faites chauffer la colle et affûtez vos hélices. Vous n’allez plus tardé à être invité pour une confrontation où vous devrez défendre vos couleurs et peut-être même les couleurs du club. J’ai trouvé à Mennecy et à Boissy des pilotes complètement intoxiqués à l’électron fou ou au nitrométhane et qui n’attendent qu’une occasion pour ressortir leurs machines diaboliques.
Allez, bonne soirée quand même, on vous attend sur le terrain.
Bernard Laplanche
Des nouvelles de Cressely
Quelques mots pour vous donner les dernières nouvelles du terrain à Cressely.
Depuis quelques semaines, nous ne voyons plus grand monde le dimanche matin. D’habitude non plus me direz vous, encore que normalement nous nous retrouvons à 4 ou 5 et en repartant sur le coup de 13h, les premiers fondus de l’après midi commencent à arriver.
Bon évidemment, ces dernières semaines en arrivant, le thermomètre est à 0 ou 2 degrés et au mieux en repartant, il finit à 4 ou 5 degrés. De toute façon c’est humide, très humide. Les bottes sont obligatoires et les sous-gants en soie aident à sentir un peu les manches de l’émetteur.
En se moment on retrouve toujours les mêmes : Sylvain, Vincent, Bernard et souvent Patrick qui s’échappe de chez lui juste à coté.
L’ambiance : essentiellement des avions/planeurs électrifiés et de temps en temps l’hélico électrique de Sylvain.
- Le tagazou de Vincent et le tout nouveau Taxi Cup II de Sylvain. Il l’a monté avec une propulsion électrique au lieu du 46 2 temps préconisé par Graupner. C’est très joli à voir évoluer avec des trajectoires bien tendues et des réponses aux commandes très saines.
- Au fond, le Solution de Vincent qui essaie de trouver un peu d’air porteur, heureusement que son moteur a une super pèche pour le ramener en altitude. Devant, le nouveau machin de Bernard dans la lignée des racers électrifiés, c’est un Fire-Cracker de HET-RC. Celui-ci ne fera pas de mal à grand monde avec son Speed 400, mais bon il est joli et devrait voler dès que Bernard aura trouvé la motivation pour sortir les mains de ses poches.
- Tiens , re-voila le tagazou. Je dis tagazou, parce qu’il a été construit et réparé, puis reconstruit et re-réparé avec d’autres morceaux, bref on ne sait plus d’où il vient et avec quoi il a été fait. Toujours est-il qu’il est vaillant, il est de sortie tous les dimanches. Il vole super et je l’ai même vu équipé d’un support pour largué en altitude des petits planeurs ou même des avions.
Ce jour là, il a eu du mal à sortir de la neige, il lui a fallu un bon coup de pieds au c… pour l’aider à s’arracher. Mais bon, pirouettes et vols dos et un gentil retour au bercail aux pieds du pilote.
- Re le racer pour justifier le fait que le paysage de Cressely a été remodelé. Quand on vous dit qu’on s’en occupe : ça s’appelle un « poteau », il fait 4 mètres de haut et est déjà en fleur. Une belle fleur, blanche et rouge en damier. Le 2ième, est sorti un peu plus tard, il est encore tout petit mais grandit rapidement et bientôt il sera lui aussi en fleur. Ils sont espacés d’environ 100 mètres, un à chaque bout de la piste, juste bien pour faire des « runs » avec un joli virage à chaque poteau.
J’insiste lourdement : faites chauffer la colle et affûtez vos hélices. Vous n’allez plus tardé à être invité pour une confrontation où vous devrez défendre vos couleurs et peut-être même les couleurs du club. J’ai trouvé à Mennecy et à Boissy des pilotes complètement intoxiqués à l’électron fou ou au nitrométhane et qui n’attendent qu’une occasion pour ressortir leurs machines diaboliques.
Allez, bonne soirée quand même, on vous attend sur le terrain.
Bernard Laplanche
Technique de base !
Un truc méconnu et qui simplifie tant la vie.
Il y a quelques jours, j’ai eu l’occasion d’approfondir la prose d’un site web qui m’intéressait car il présentait un avion tout à fait dans le ton de ce que j’ai envie de faire en ce moment :
Un petit avion propulsé par un moteur électrique, fait pour aller vite (c’est une réplique issue des courses organisées à Réno, si vous voyez ce que je veux dire !) et qui ressemble à un « WarBird ».
Les avions proposés sur ce site se présentent sous la forme de kits minimalistes. Ils sont réalisés à partir d’un fuselage en structure balsa et d’une aile en polystyrène coffrée bois.
Les kits vendus environ 100$ contiennent un noyau polystyrène pour l’aile, d’un fagot (petit) de balsa et d’un plan à partir duquel il faut fabriquer les pièces bois.
Par Email, Jim me précise que quelques uns de ses avions volent déjà en France et que le port pour Paris est de 10$.
Sympathique le gars (« Guy » in english), mais je retombe sur un vieux problème qui consiste à partir sur un projet de construction qui va durer une bonne année. En ce moment, ce type de perspective me déprime, il faut que ça vole pour la saison prochaine sans perturber les autres projets en cours, et il y en a 3 autres !
Pour tout dire, le gars en question s’appelle Jim RYAN et son site est à l’adresse :
http://home.fuse.net/ryan/index.htm
L’objet de cet article, c’est qu’en plus il décrit les techniques de base qui vont permettre de réaliser facilement et proprement ces avions.
- L’art et le manière de faire des pièces en bois à partir d’un plan.
- L’art et la manière de faire une finition époxy.
- …
Il y en a d’autres, mais je n’ai retenu que celles là aujourd’hui et pour la deuxième rubrique, je la mets de coté pour l’instant, on en reparlera sûrement plus tard.
Fabriquer une pièce à partir de son schéma sur un plan. Facile me direz-vous :
- On se concentre sur la figure,
- On attrape une planche de balsa dans la bonne épaisseur,
- On trace l’encombrement,
- On découpe grossièrement,
- On affine par ponçage,
- On superpose sur le plan,
- Et on recommence les deux dernières opérations jusqu’au moment où on est satisfait.
Le problème, c’est que pour faire un avion, il faut multiplier ça pour chaque pièce de forme non rectangulaire. Il y en a un bon paquet et ça prend un temps ENORME.
A partir de maintenant je cite Jimmy :
- « Faire une photocopie du/des plan/s qui représente/ent les pièces à fabriquer. »
- « Découper les photocopies pour pouvoir disposer les pièces une à une sur la planche de balsa et donc d’optimiser le placement de celles-ci dans le format du bois. »
- « Imprégner le papier d’acétone au pinceau. »
- « Tamponner avec un chiffon sans bouger le papier. »
- « Retirer le papier et laisser sécher. »
- « Découpe et un seul ponçage définitif. »
C’est tout, en cinq sept vous disposez de votre matière première.
C’est d’une simplicité enfantine, désarmant de facilité, de précision et de rapidité. Je suis vieux, j’ai une grosse moustache de modéliste et je n’arrive pas à comprendre pourquoi je ne connaissais pas cette technique. Elle peut s’appliquer à n’importe quelle construction et/ou réparation d’un kit abîmé pour peu qu’on dispose du plan.
Un chantier simplissime :
Allez le voir, consultez :
“Downloads:Information, files and « how-to » articles for electric flight.”
Et remerciez le de ma part.
Je vous livre cette recette en espérant qu’elle nous permettra de vous revoir RAPIDEMENT sur le terrain avec votre nouvel machine.
Bons vols et ne cassez rien.
Technique de base !
Un truc méconnu et qui simplifie tant la vie.
Il y a quelques jours, j’ai eu l’occasion d’approfondir la prose d’un site web qui m’intéressait car il présentait un avion tout à fait dans le ton de ce que j’ai envie de faire en ce moment :
Un petit avion propulsé par un moteur électrique, fait pour aller vite (c’est une réplique issue des courses organisées à Réno, si vous voyez ce que je veux dire !) et qui ressemble à un « WarBird ».
Les avions proposés sur ce site se présentent sous la forme de kits minimalistes. Ils sont réalisés à partir d’un fuselage en structure balsa et d’une aile en polystyrène coffrée bois.
Les kits vendus environ 100$ contiennent un noyau polystyrène pour l’aile, d’un fagot (petit) de balsa et d’un plan à partir duquel il faut fabriquer les pièces bois.
Par Email, Jim me précise que quelques uns de ses avions volent déjà en France et que le port pour Paris est de 10$.
Sympathique le gars (« Guy » in english), mais je retombe sur un vieux problème qui consiste à partir sur un projet de construction qui va durer une bonne année. En ce moment, ce type de perspective me déprime, il faut que ça vole pour la saison prochaine sans perturber les autres projets en cours, et il y en a 3 autres !
Pour tout dire, le gars en question s’appelle Jim RYAN et son site est à l’adresse :
http://home.fuse.net/ryan/index.htm
L’objet de cet article, c’est qu’en plus il décrit les techniques de base qui vont permettre de réaliser facilement et proprement ces avions.
- L’art et le manière de faire des pièces en bois à partir d’un plan.
- L’art et la manière de faire une finition époxy.
- …
Il y en a d’autres, mais je n’ai retenu que celles là aujourd’hui et pour la deuxième rubrique, je la mets de coté pour l’instant, on en reparlera sûrement plus tard.
Fabriquer une pièce à partir de son schéma sur un plan. Facile me direz-vous :
- On se concentre sur la figure,
- On attrape une planche de balsa dans la bonne épaisseur,
- On trace l’encombrement,
- On découpe grossièrement,
- On affine par ponçage,
- On superpose sur le plan,
- Et on recommence les deux dernières opérations jusqu’au moment où on est satisfait.
Le problème, c’est que pour faire un avion, il faut multiplier ça pour chaque pièce de forme non rectangulaire. Il y en a un bon paquet et ça prend un temps ENORME.
A partir de maintenant je cite Jimmy :
- « Faire une photocopie du/des plan/s qui représente/ent les pièces à fabriquer. »
- « Découper les photocopies pour pouvoir disposer les pièces une à une sur la planche de balsa et donc d’optimiser le placement de celles-ci dans le format du bois. »
- « Imprégner le papier d’acétone au pinceau. »
- « Tamponner avec un chiffon sans bouger le papier. »
- « Retirer le papier et laisser sécher. »
- « Découpe et un seul ponçage définitif. »
C’est tout, en cinq sept vous disposez de votre matière première.
C’est d’une simplicité enfantine, désarmant de facilité, de précision et de rapidité. Je suis vieux, j’ai une grosse moustache de modéliste et je n’arrive pas à comprendre pourquoi je ne connaissais pas cette technique. Elle peut s’appliquer à n’importe quelle construction et/ou réparation d’un kit abîmé pour peu qu’on dispose du plan.
Un chantier simplissime :
Allez le voir, consultez :
“Downloads:Information, files and « how-to » articles for electric flight.”
Et remerciez le de ma part.
Je vous livre cette recette en espérant qu’elle nous permettra de vous revoir RAPIDEMENT sur le terrain avec votre nouvel machine.
Bons vols et ne cassez rien.